- Détails
- Catégorie : Témoignages
- Temps de lecture: 1 min
Josefa, tel un bourgeon, s'ouvre et s'éclot au gré des rayons de lumière qu'elle reçoit, apportant teintes et éclats aux futurs pétales qui orneront la fleur. En son coeur, elle s’offre à celles qui souhaitent s'y ressourcer, celles qui ne sont que de passage. Bourdonnement estompé, instant posé où retentissent vibrations des ailes en mouvement.
- Détails
- Catégorie : Témoignages
- Temps de lecture: 8 mins
De la presse au sens classique aux revues de recherche, en passant par chaque geste médiatique (au sens d’un regard sur l’actualité ou de l’écho quant à l’actualité), la question se pose : les médias sont-ils figés dans une posture descriptive-analytique ?
- Détails
- Catégorie : Témoignages
- Temps de lecture: 7 mins
La migration au sens universel
Lorsque l’on se penche sur des études historiques, biologiques, astronomiques, chimiques, … globalement sur la plupart des études scientifiques, le mouvement, à grande ou à petite échelle, est indissociable de la vie par opposition à l’inertie qui s’apparente à la mort…
- Détails
- Catégorie : Témoignages
- Temps de lecture: 5 mins
Ce 4 octobre 2018, la Maison Josefa a fêté son entrée en rénovation et embellissement. Pour la plupart d’entre nous, la Maison Josefa était déjà bien connue. Pour d’autres, c’était la première fois que le seuil de la Maison Josefa était franchi : ensemble, il s’est agi de goûter une hospitalité en réciprocité…
- Détails
- Catégorie : Témoignages
- Temps de lecture: 2 mins
En décembre, à Bruxelles, le regard de Josefa s’est affiché sur les « abris-bus ». Qu’en est-il ?…
- Détails
- Catégorie : Témoignages
- Temps de lecture: 10 mins
L’Europe ne vivrait-elle pas un passage qui a été décrit en philosophie par la migration du « Je » vers le « Nous » ? A la Fondation Josefa, nous expérimentons le penser, dire et vivre notre vision « Tous Migrants », exercice exigeant, tant le siècle des Lumières a marqué notre pensée et notre langage par un certain « Je » et tant, au XXème siècle, Nietzsche a anéanti un certain « Je » par son nihilisme…